À PROPOS DE VIKTORIKA
née en Ukraine, vit et travaille sur la Côte d’Azur, France
Viktorika conçoit l’art comme un laboratoire visuel et conceptuel, où chaque idée devient une expérience sensorielle et intellectuelle. Son travail explore les tensions subtiles entre matière et symbole, tradition et contemporanéité, mémoire collective et perception individuelle. Avant d’initier une série, elle engage un processus de recherche approfondi : étude de l’histoire de l’art, analyse des traditions culturelles, investigation des signes et symboles patrimoniaux, visites de musées et consultation d’archives. Cette rigueur conceptuelle confère à chacune de ses séries un univers esthétique et philosophique singulier, où le geste pictural devient un acte de réflexion.
La singularité de Viktorika réside dans la diversité radicale de ses cycles de création. Ses œuvres oscillent entre abstraction méditative, interprétation des motifs ancestraux et exploration des perceptions contemporaines. Cette pluralité n’est pas fortuite : elle traduit une conviction profonde selon laquelle l’art doit embrasser la complexité du monde et refléter la multiplicité des expériences humaines. Chaque série forme ainsi un microcosme autonome, doté de ses propres rythmes, textures et langages visuels, mais toutes convergent vers une même quête — celle de la densité plastique, de la profondeur conceptuelle et de l’émotion universelle.
Les œuvres de Viktorika se trouvent aujourd’hui dans de nombreuses collections privées à travers le monde — notamment aux États-Unis, en Ukraine, en France et en Pologne. Ses expositions personnelles et collectives, présentées dans des espaces publics et privés, témoignent d’un parcours en constante évolution et d’une reconnaissance croissante sur la scène artistique internationale.
Au-delà de son atelier, Viktorika s’affirme comme une figure active du paysage culturel contemporain. Elle participe régulièrement à des festivals d’art, concours, projets curatoriaux et événements caritatifs, qu’elle considère comme des espaces essentiels de dialogue et de transformation sociale. Pour elle, l’art n’est pas seulement un acte esthétique, mais un langage universel, capable de relier les individus, de raviver la mémoire et de réenchanter la réalité.